Les
Erreurs du Passé
Auteur:
Johnalisabeth
Disclamer:
Les personnages de SGA ne m'appartiennent pas !
Résumé:
Peut-on réparer les erreurs du passé ?
----------------------------------------------------------------------------------------------------
John sortait
du bureau d'Elizabeth, visiblement furieux, elle se
tenait dans l'embrasure de la porte et avait l'air au
bord de la crise de nerfs.
Elizabeth : Revenez ici, j'ai pas fini de vous engueuler
!
Il ne se retourna même pas et continua son chemin en
serrant les poings, il fallait qu'il aille se défouler,
la salle d'entraînement était tout indiqué pour ce
genre de problème.
Elle s'assit sur sa chaise, elle n'en pouvait plus de
cette tension. En ce moment, avec John tout les prétextes
était bon pour se disputer. Ca n'allait plus du tout
entre eux, leur relation se dégradait, quand ils se
voyaient c'était principalement pour se crier dessus.
Toute la cité était témoin du malaise qui s'était
installé mais personne ne savait comment gérer la
situation, ils avaient même été obligé d'aller voir
Kate qui ne pouvait plus les croiser dans un couloir s'en
ressentir de la pitié pour eux deux, comment l'amour
peut il être aussi vite réduit à néant ? Elizabeth
souffrait de cette situation, elle était incapable de
dire quand tout cela avait commencé, comment ils étaient
de l'amour à la haine. Elle voulait retrouver son John,
son acolyte, son confident, son ami, son amant. Elle le
savait c'était de sa faute, mais elle ne pouvait pas
changé ce qu'elle ressentait même si elle le voulait,
il y avait un part d'elle qui l'aimait toujours et une
autre qui lui en voulait. Depuis quelque temps, elle se
sentait vraiment seule, elle aurait voulu pouvoir revenir
en arrière et comprendre ce qu'il avait bien put se
passer, ce qui leur était arrivé, pourquoi en était-il
arrivé là ? Pourquoi eux ? John se battait contre un
sac de sable, dans la salle d'entraînement, il ne
voulait plus la revoir où il risquerait de ne plus ce
contrôler et de la frapper, c'était il y a tellement
longtemps la dernière fois qu'elle lui avait souri et ca
lui manquait énormément, il aurait tout fait pour son
sourire. C'était probablement trop tard, leur relation
était endommagé à jamais, comment réparer toutes les
erreurs du passé ? Elle n'était pas entièrement
fautive, peut-être qu'il aurait dut essayer de la
retenir au lieu de la laisser lui échapper ? Il aurait
dut l'aider mais il avait fait tout ce qui était
humainement possible. Le souvenir de leur bonheur lui
faisait mal, ce bonheur perdu il y a trop longtemps.
Comme ils étaient heureux avant tout ça, il se
souvenait du temps où tout était encore possible, où
tout était beau, où elle était heureuse.
FLASH BACK
John, Teyla, Rodney et Ronon tiraient sur les villageois
qui avançaient en
lançant des flèches sur eux, les villageois semblaient
protégé
l'entrée d'un château.
Teyla : On ne tiendra plus très longtemps.
John : On tiendra le temps qu'il faudra.
Ronon : On est encerclé, il faut se replier.
John : Non, on tiendra je vous dit, j'ai pas l'intention
de l'abandonner.
Les villageois tombaient à terre, il ne restait plus
personne debout, ils
étaient tous morts, et là, ils virent Elizabeth,
couverte de sang, elle
avait le regard froid et vide. John courra vers elle et
la pris dans ses
bras. Personne ne savait qu'ils étaient ensemble à part
Teyla, il aurait
put être devant toute la citée qu'il ne se serait pas
privé, cela
faisait six mois qu'elle avait été fait prisonnière
sur cette planète.
Six qu'il ne l'avait pas prise dans ses bras. Ils avaient
tous essayés
pour la ramener mais rien n'avait fait, le SGC la considérait
comme morte
en mission diplomatique, c'est pourquoi ils avaient préparer
cette mission
secrète pour la délivrer. Leur dernière chance de la
sauver.
John : Je suis là, c'est fini, maintenant.
Ils repartirent sur Atlantis, Elizabeth fut conduite à
l'infirmerie,
Carson lui avait donné un sédatif et il parlait au
reste de l'équipe.
John : Je ne comprend pas, elle va mieux maintenant.
Carson : Elle a de nombreuses cicatrices, plusieurs côtes
cassées, elle
est en sous-nutrition, il y a dans son sang la présence
de plusieurs
drogues qui quand elles sont associés sont extrêmement
dangereuses,
physiquement, elle devrait pouvoir s'en sortir, avec tout
ce qu'elle a
subit ces derniers temps, c'est un miracle qu'elle soit
encore en vie.
John : Ce qu'elle a subit ?
Carson : Ca ne fait aucun doute, cela fait plusieurs mois
qu'elle
est
torturée.
John : Quoi ?
Carson : Physiquement, elle ira mieux mais
moralement,
même avec un
suivit psychologique, on ne se remet jamais de ce genre
de chose.
John ne pouvait détaché son regard d'Elizabeth, pendant
tout ce temps,
qu'il essayait de la sauver, elle avait été torturée,
six mois, durant
six mois.
FIN DU FLASH BACK
Avant cette mission,
où elle avait été faite prisonnière, où l'on
l'avait torturé pour avoir son code d'identification sur
Atlantis, avant
tout ça, oui, ils avaient été heureux, peut-être
avaient ils eut leur
compte de bonheur, peut-être que c'était définitivement
fini maintenant.
Non, il ne voulait pas y croire, il ne pouvait pas y
croire, il ne
l'abandonnerait pas, pas encore une fois.
Elle avait changé, elle l'avait fait souffrir mais il
n'a jamais cessé de
l'aimer.
Elizabeth partait se coucher, elle marchait dans les
couloirs en repensant
à John, il faut dire qu'elle pensait tout le temps à
John. Perdue dans
ses pensées, elle ne vit pas qu'elle aller percuter
quelqu'un, elle lui
rentra dedans avant de se rendre compte que le hasard
avait vraiment un
dent contre elle. Ils étaient tout les deux gênés.
John : Désolé, je ne t'avais pas vu.
Elizabeth : Pas grave, moi non plus je ne regardais où
j'allais.
John : Ca va ?
Elizabeth : Bien, tu sais ce que c'est, diriger une citée
c'est fatiguant,
j'allais justement me coucher.
John : Il faudrait qu'on parle.
Elizabeth : Je ne vois pas de quoi.
John : Cette situation devient insupportable.
Elizabeth : Il te faut pas grand chose.
John : S'il-te-plaît
Elizabeth : Je suis fatigué, bonne nuit.
Elle partie laissant John dans le couloir, tout seul.
John ( murmure ) : Bonne nuit.
Il l'avait senti, il y avait encore quelque chose, derrière
la gêne et
les longues pauses silencieuses, il y avait ce parfum
dans l'air, elle ne
réagirait pas comme ça, si elle ne l'aimait pas encore,
ne serait ce
qu'un tout petit peu.
Elizabeth se blotti sous ses couvertures, comme si elles
allaient la
protéger du monde et de la réalité. Elle l'aimait
tellement, mais elle
ne pouvait pas, elle n'avait plus confiance, elle ne
pouvait plus le voir
sans avoir un douloureux pincement au cur qui lui
rappelait tout ce
qu'ils avaient vécue et tout ce qu'elle avait perdue. C'était
trop dur de
l'aimer pourtant elle ne pouvait pas s'en empêcher, elle
ne pouvait rien y
faire, elle aurait voulu enfouir son amour tout au fond
de son cur, elle
aurait voulu tuer sa douleur mais elle l'aimait, quoi
qu'elle fasse, elle
l'aimait.
FLASH BACK
Depuis qu'elle était revenu, Elizabeth semblait perdue,
toujours le regard
dans le vide, ne souriant plus. John aurait voulu faire
quelque chose mais
il ne savait pas quoi. Comment la faire se sentir en sécurité?
Ils
étaient dans ses quartiers, Elizabeth était assise sur
le lit John lui
apportait à manger, il s'assit lui aussi sur le lit.
John : Il faut que tu mange quelque chose.
Elizabeth : Je n'est pas faim.
Il posa le plateau sur la table de chevet, Elizabeth
regardait dans le
vide.
John : J'ai l'impression que tu m'échappe, j'ai
l'impression de te perdre
un peu plus, chaque jour qui passe, et je ne sais pas
quoi faire pour te
retenir, Kate pense que toi seul peut réglé tes problèmes
mais je veux
te rendre heureuse, comme avant.
Elle le regarda dans droit dans les yeux et dit avec détachement
:
Elizabeth : Il n'y aura plus jamais de comme avant, quoi
que tu pense, ca
ne s'arrangera pas, je ne suis pas aussi forte que tu le
croit, je ne peut
pas survivre à ca, je ne peux pas reprendre une vie
normal après ça et
tu ne peux pas m'aider.
John : Je ne veux pas te perdre encore.
Elizabeth : Tu ne m'a jamais vraiment retrouvé.
John : Je suis sûr qu'on peut surmonter ca.
Elizabeth : Je surmonterai ca, toi aussi, mais ce ne sera
pas ensemble.
John : Eli
Elizabeth : Vasten, la seule chose que tu peut
faire pour moi c'est
partir, pas seulement de cette pièce, mais de ma vie,
sort de ma vie.
Cela faisait trois mois qu'Elizabeth était revenu et
aujourd'hui elle
voulait qu'il parte, durant ces trois mois, il était
resté au près
d'elle tout le temps, il la prenait dans ses bras quand
elle se réveillait
en sueur la nuit, il la consolait quand elle pleurait. Il
ne pouvait pas
l'abandonner. Ce jour là, il resta auprès d'elle, ainsi
que le jour
d'après et le jour suivant, jusqu'à ce qu'il en arrive
à penser qu'elle
serait mieux sans lui, après six longs mois de lutte
acharnée pour
qu'elle aille mieux, il jetait l'éponge, il la laissait
seule avec ses
démons.
Quelque temps après, elle allait visiblement mieux, elle
reprit le
contrôle de la citée et tout redevint presque comme
avant, sauf pour eux
deux.
FIN DU FLASH BACK
Plus d'un an que le bonheur était mort et pourtant
Il n'avait pas su la rendre heureuse, lui faire retrouver
le goût de
vivre.
Il en était sûr c'était à ce moment là, que tout
avait dérapé, quand
il avait refusé de s'accrocher.
Après un briefing relativement court, il fut décidé
qu'Elizabeth,
accompagné de John, irait sur la planète P4M-627, pour
négocier une
alliance entre eux et les gens de cette planète. Une
fois sur place, les
négociations commencèrent, au début tout ce passait
bien quand ils
découvrirent que les gens de cette planète tuait les
criminels.
John : Tous les criminels ?
Commandant : Oui, tous, les voleurs comme les meurtriers,
c'est pour ça
que notre taux de criminalité est si bas.
Elizabeth : C'est horrible !
John : Ecoutons, au moins ce que ce monsieur a, à nous
dire avant de
porter des jugements.
Elizabeth : Comment peut on justifier de tuer les gens ?
Commandant : Ce sont des criminels !
Elizabeth : Ce sont des êtres humains !
John : Du calme, Elizabeth, il ne faut pas oublier tout
les bénéfices que
cette alliance nous apporterai.
Elizabeth : Je me fiche des bénéfices, c'est immorale
et jamais je ne
cautionnerai ca, c'est fini, on s'en va !
Commandant : Vous le regretterez.
Elizabeth : Sûrement pas !
Elizabeth et John partirent laissant le Commandant seul,
ils arrivaient
près de la porte des étoiles quand ils furent attaqués,
les balles
fusaient de tout les côtés, les ennemis étaient trop
nombreux, ils
durent fuir, ils coururent sans s'arrêter pendant au
moins une demi-heure.
Elizabeth : C'est bon, ils ne nous suivent plus.
John s'arrêta, ils étaient au bord d'un lac, près d'un
bois.
John : On devrais rester là quand les autres verront
qu'on ne rentre pas,
ils viendront nous chercher. Tu es blessée.
Elizabeth : J'ai connu pire.
Elizabeth avait été
touché au ventre et avait une immense tâche rouge
sur son maillot blanc, pour une fois qu'elle changeait de
tenue, il fallait
que ca lui arrive.
John : Laisse moi voir.
Il s'approcha d'elle et souleva son t-shirt, la proximité
de leur corps,
les mains de John sur son ventre, lui faisait tourné la
tête, elle
voulait rester insensible mais ca lui était impossible,
son parfum, sa
peau si proche de la sienne, s'il restait encore là elle
ne pourrait plus
tenir.
John : La balle t'a frôler, c'est pas trop grave.
Il redescendit son t-shirt et il la regarda, ce qu'il
aurait aimé qu'elle
lui souri.
John : Il doit y avoir des fruits dans le bois, j'ai des
barres
énergétiques, ca nous permettra de tenir, je vais faire
du feu, la nuit
commence à tomber.
Un heure plus tard, Elizabeth revînt avec quelque fruits
cueillit dans la
forêt et s'assit près du feu à côté de John.
Il faisait déjà nuit, on pouvait voir des milliard d'étoiles
dans le
ciel, la lune se reflétait sur l'eau du lac.
John : C'est magnifique, n'es ce pas ?
Elizabeth : Oui, vraiment magnifique.
John : Es ce que ca va ?
Elizabeth : Oui.
John : L'autre jour, tu est partie sans qu'on est fini
notre conversation.
Elizabeth : C'est parce que j'avais pas envie de la finir.
John : Je comprend que
Elizabeth : Pitié non, je veux pas reparler de ça, je
veux plus jamais
repensé à tout ça.
John : Mais je suis sûre que tu n'y arrive pas.
Elizabeth : Ca me hante. Les cauchemars que je faisait au
début, je le
fait toujours. Je n'arrive pas chasser tout ça des mes
pensées, c'est
ancré en moi, pour toujours.
John : J'ai tout fait pour te sauver, je suis rester auprès
de toi tout le
temps et
Elizabeth ( criant ) : J'AVAIS CONFIANCE EN TOI ET TU MA
ABANDONNER !!!
Les larmes coulaient sur ses joues, il s'en voulait, il
la faisait pleurer,
encore.
John : C'est toi qui voulait que je parte.
Elizabeth ( la voix tremblante ) : J'ai dut attendre six
mois pour que tu
viennes me chercher, six mois ! Et quand j'avais le plus
besoin de toi, tu
m'a laissé toute seule, j'avais tellement mal, et
j'avais personne à qui
me raccrocher parce que tu n'était pas là !
John : J'ai fait tout ce que j'ai put pour toi et c'est
quand je suis
partie tu t'es remise à vivre, c'était dur de rester
auprès de toi, de
te voir dépérir de jour en jour mais j'ai jamais
abandonné parce que je
t'aime trop et quand j'ai cru que te laissé était la
meilleure façon
pour toi de reprendre ta vie, je suis partie, même si ca
me faisait mal je
suis partie ! Qu'es ce que tu croit que ca m'a fait de
voir que tu te
portais beaucoup mieux sans moi !
Elizabeth : J'allais pas mieux ! Je me sentais mourir, il
fallait que je
remonte si je voulais pas être perdue à jamais, je
voulais que tu sois
auprès de moi, j'avais besoin de toi et tu aurais dut le
savoir ! Tu
aurais dut savoir que sans toi, je ne pouvais pas être
heureuse, que je ne
pouvais pas m'en sortir. Pour tout te dire, je vais très
mal, je me
souviens toujours du temps où on été heureux, je me
souvient toujours du
temps où je subissait des atrocités, je me souvient
toujours du sentiment
d'abandon le jour tu es m'a laissé et le pire dans tout
ca, c'est que je
n'arrive pas oublier et à vivre parce que quoi que je
fasse je pense à
toi et quoi que je fasse, j'arrive pas à arrêter de
t'aimer!
Elle le fixait, les larmes se succédaient sur ses joues
sans s'arrêter.
Elizabeth : Comment veut tu que je te pardonne ça !?
John avait le souffle coupé, il ne savait pas quoi répondre,
ces aveux
était si troublant, il n'eut pas le souvenir qu'elle est
été aussi belle
qu'en cette instant, la lune se reflétant sur sa peau
clair, son visage de
reproche et de tristesse.
John : Quelque part je voulais pas que tu te rétablisses,
je voulais que
tu me dise de revenir, que tu me dise que tu avais besoin
de moi, et ca m'a
fait mal de te voir aller mieux, sans moi, je croyais
vraiment que c'était
de ma faute si tu était malheureuse.
Elizabeth : Alors c'est que tu ne me connais pas. Si tu
as réussit à
croire au mensonge que j'inventais pour sauver les
apparences, c'est que tu
ne sais pas vraiment qui je suis.
John : Il faudrait que tu me laisse essayer pour ça, si
tu me laissait
faire.
Elizabeth : Je peux pas, je ne pourrais jamais avoir
confiance en toi, à
nouveau. J'y arriverais pas.
John : Je comprend.
Elizabeth éclata en sanglot, la voix emplie de douleur,
entre deux crises
de larmes, elle ajouta :
Elizabeth ( criant ) : Mais qui est tu ?? Pourquoi tu
abandonne aussi
facilement ?? C'est que je n'en vaut pas la peine ?? Où
est le John
Sheppard que j'aimais ???
John : Il est mort le jour où tu as cessé de l'aimer.
Elizabeth : Mais je n'est jamais cessé de t'aimer,
durant tout ce temps,
pas une seul seconde je n'est put oublier que je t'aimais
!
Un silence s'installa, le temps qu'Elizabeth puisse empêcher
ses larmes de
couler et que John trouve quoi répondre.
Quelques minutes plus tard, un jumper arriva, Teyla,
Ronon et Rodney venait
les secourir, ils repartirent sur Atlantis dans le plus
grand calme.
Rodney : Qu'es ce que vous avez fait pendant tout ce
temps, John regarda
Elizabeth puis après un moment :
John : On a parlé.
Une fois arrivé sur Atlantis, ils passèrent la visite médicale,
Elizabeth fut soigner, mais dut rester en observation à
l'infirmerie, tous
partirent se coucher sauf John qui resta avec elle dans
l'infirmerie
déserte.
John : Pourquoi sa nous arrive à nous ? Pourquoi on peut
pas être heureux
comme avant ?
Elizabeth : Je crois que dans certains cas s'aimer ne
suffit pas.
John : Je ne veux pas oublier notre histoire, je ne veux
pas t'oublier.
Elizabeth : C'était peut-être notre destin, si on se
retrouve pas dans
cette vie là, on se retrouvera dans l'autre.
John : C'était notre destin, à ton avis, de nous
retrouver pour nous
perdre encore ?
Elizabeth : Je sais pas.
John : Si tu savais comme tu me manques.
Elizabeth : A moi aussi, mon amour, tu me manques
plus
que tout.
John la pris dans ses bras, elle pleurait encore, il ne
put retenir, lui
aussi, quelques larmes.
La tension qui s 'était installé entre eux disparu. Ils
restèrent tout
de même amis, ne pouvant se passer de la compagnie de
l'autre même si
tout deux n'arrivait pas se contenter de ca.
Elle n'avait plus confiance en lui, il ne pouvait pas
continuer à se
mentir, elle avait raison, depuis le début, le "comme
avant" été
définitivement mort.
Ils avaient tout les deux des tords, pourquoi n'arrivait
elle pas à
pardonner ? Pourquoi ne pouvait elle pas lui donner une
seconde chance ?
Elle en avait envie, tellement envie mais elle avait été
blessée au plus
profond de son cur et on ne se remet jamais
vraiment de se genre de
choses.
Ils s'étaient confiés l'un à l'autre, avoués leur
amour mais cela
suffisait ils à réparer toutes les erreurs du passé ?
FIN
...RETOUR
|